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Sur les liens entre renommée et troubles mentaux il y a aussi une différente présomption. Dans personnes « notoires », une grande quantité sont dits professionels. C’est le cas par exemple du sculpteur Stromae, de l’écrivain Michel Houellebecq, ou du habilleur Jean-Paul Gautier. Il est la vérité que l’imagination est fréquemment associée aux soucis mentaux, lien illustré notamment dans les biographies d’artistes illustres : Honoré de Balzac et Virginia Woolf ont probablement présenté une psychose maniaco-dépressive ( maladie dénommé aujourd’hui tourmente bipolaire ), John Nash, trésor calculateur était contaminé de schizophrénie, luc Verlaine était alcoolique, Antonin Artaud souffrait d’hallucinations, Vincent Van Gogh aurait supporté d’accès psychotiques, etc.
Toutes les menstrues ont des idoles, ou des brave qui sont célébrés et reconnus. En réalité, le mix entre les activités immensurables, les séjours, l’abondance et l’existence privée remplie de vie de couple, de pandémie ou né créer une attirance intense. Les célébrités sont en même temps inaccessibles et proches, ce qui rend leur quotidien séduisant. De plus, la valeur qu’ils représentent, entourés d’autres vedettes, ne fait que recouvrir cette effet. Pour se joindre dans le rayon du star, la popularité, de son qui vit ou après sa défunt, doit assez capter tout en restant près de son public. C’est particulièrement le cas avec les légendes hollywoodiens dont l’histoire, fréquemment extraordinaire, fait rêver.
Amanda Seyfried ( Mamma Mia !, Time Out ), en thérapie pour crise d’angoisse après sa soudaine célébrité. Kirsten Dunst sélectionnée par Lars von Trier pour incarner l’héroïne dépressive de Melancholia, « étant donné que la question lui était idée ». Carrie Fisher ( Star Wars ), bipolaire commun, assurant la publicité des électrochocs dans Shockaholic, sa dernière présentation… Depuis peu, le listing des personnes célèbres qui avouent leurs bobos psys se remplit au minimum aussi vite que la salle des psychologues qui les touchent. « Nous tous un coup de déprime, à un moment ou un autre. Mais nous avons habituellement confusion d’en parler. Je ne jugerai une personne qui traverse ce genre de passage à vide », a ces temps derniers jurat Kirsten Dunst au webzine Flare, 3 ans après son moment à la clinique Cirque Lodge où elle avait été admise pour dépression. Lindsay Lohan et Eva Mendes l’y avaient précédée.
Et si d’aventure la rédaction de la 1ère transfert est fragile, la démesure de ce qui est renvoyé peut être inévitable. S’y isoler est faire mélange avec Dieu. Et la douleur ultime surgit pendant se déjuger terre, à l’instant de la déception qui conduit l’être à ne éclater que comme un épluchure. Il réalise que l’écho du monde est un leurre, et que l’image qui s’est réalisée par le regard de l’autre-monde est un mirage collectif, une fantaisie. Alors, comme un cinglé se dessaisit de son mirage, il chute de son fondement sélénien et engloutir dans un modèle sinistre de fin du monde. Celui qui tient l’univers n’est plus, et tout s’effondre avec lui.
Tous n’ont pas le même souci. La notoriété concorde fréquemment avec un niveau qui toutes les voluptés. La fête d’abord ponctuelle devient , jusqu’à n’être plus du tout synonyme d’amusement. Whitney Houston fait partie de ces stars qui, en haut de leur gloire, ont pris goût à la médicament, et ont vu leur carrière, et même leur vie dissolue dans la chimie de leurs mélanges. Et puis il y a ceux qui malgré une égalité evident, n’ont plus eu la force d’endurer les revers de la popularité. Vies traquées, collègues intéressées, perturbées, rapport violée, ils s’appelaient Dalida, Marilyn Monroe, Robin Williams ou encore Heath Ledger, et la gloire a démesuré leur sensibilité et spécificité, la rendant barbare, adjonction, ne leur proposant plus qu’une porte de sortie, enliser
Il estime que quelques scénarios «pré-établis», comme les affaire d’ascension sociale idéale, causent une réaction sensible parce qu’ils sont ancrés dans nos cerveaux. Si l’on observe les désagrégation de célébrités, ce qui défraient le plus l’histoire correspondent souvent à l’une ou l’autre de ces entreprises de base. Prenez la déchéance de Charlie Sheen, par exemple : c’est le récit distinctif du «mauvais garçon» –qui se renouvelle souvent à la fouille de rachat, sur le mouvements du «Fils prodigue».
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