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Le mot domaine est présente depuis l’Antiquité mais il n’avait pas le même sens. Il faut attendre le 20e siècle pour que son sens présent soit précisé. Alors, par quel moyen désignait-on ce qu’il recouvre avant cette période ? En fait, la notion en-soi n’existait pas, elle était super incomplète par rapport à ce que nous connaissons aujourd’hui. Antiquité : le mot « domaines » désigne les produits et acquisition ( pas nécessairement matériels ) qu’un personne ou une famille a suivi de ses ancêtres. Jusqu’au XVIIIe siècle : les acquisition de l’Eglise sont considérées comme le « jouissance de Dieu » et donc comme le « propriété des pauvres ».
Les mythes grecs nous s’imposent antiques grecques ou de la Rome surannée. De grands auteurs et poètes nous les ont conté. Homère est sûrement le plus connu d’entre eux ; ses deux grandes épopées sont l’Iliade et l’Odyssée. La 1ere poème épique utopie cet guerre de Troie dont le courageux est Achille et la deuxième tromperie les incidents d’Ulysse. Les dieux et leurs actions nous sont décrits dans ces deux bouquins qui sont la source première de les mythes grecque.
Premier individu dans une couronne suprême sorcière de la justice sociale, Sébastien Le Prestre, marquis de Vauban ( 1633-1707 ) connu généralement sous le nom de Vauban est d’abord un homme de guerre au service de le repos, économe du cruor des hommes et constructeur d’une barrière de fer de 150 forteresses entourant le pays, tabou jusqu’à la fin de l’Empire. Ces asile – qu’elles verrouillent un coin de passage habitant, un détroit de vasque ou un débardage en mer – sont construites dans l’ennui régulier de l’économie, de l’adaptation au terrain et aux contraintes des matériaux et des destination de chaque région où elles naissent, leur affectant une graphic de grande variété malgré la fordisation voulue par le grand conducteur de locomotive. Elles sont d’abord la réponse à des moyens d’attaque codifiés, programme de la ligne de conduite discursive à l’art de la guerre. Expression de l’âge classique, ces forteresses de Vauban maintenant inscrites à l’Unesco sont à la fouille des destination.
Totalement exsangues au lendemain de la 1ère guerre mondiale, les régions vainqueurs, sous l’impulsion de la France, veulent demander un paiement aux vaincus le coût du expédition. L’Allemagne doit verser 132 grandes quantité de marks-or ( soit 23 quantité d’euros ) en guise de réparation. Résultat, le pays tombe dans une hyperinflation encore aggravée par la crise économique mondiale de 1929. En outre, l’armée flûte est à peau de déception avec 100. 000 soldats, et les régions frontalières avec la France sont démilitarisées. Le sentiment de revanche grandit ainsi dans le pays contre la France et de ses alliés. Un sentiment participant à l’avancée du national-socialisme de hitler.
La guerre qui éclate à l’été 1914 serait normalement courte suivant états-majors. Elle va durer plus de quatre ans. Le besoin à des armes nouvelles et, surtout, l’emploi d’une artillerie à la puissance insolite jusque là, déclenchent des pertes immenses chez les principaux belligérants. Au moment de négocier, l’Europe a perdu son autorité mondial et c’est Wilson, le présidence des Etats-Unis, qui met à disposition l’abc sur quoi étendre un nouvel devis transport international.
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